Le producteur anglo-néerlandais Shell a versé dans les caisses publiques du Nigeria, une somme de 6,4 milliards de dollars, représentant les droits de production d’hydrocarbures, les taxes, les redevances et frais découlant de ses activités d’exploitation, au titre de l’année 2018.
Cette embellie s’explique par la légère remontée des prix du baril sur les marchés internationaux et surtout la stabilisation de la production nigériane après plusieurs mois de sabotages des installations d’extraction et de transport de l’huile, précise Shell dans son rapport annuel de développement durable.