L’enquête menée par l’Unité spéciale d’enquête (SIU), sous la tutelle du ministère de la Justice, a révélé que l’ancien ministre sud-africain de la Santé, Zweli Mkhize, aurait commis des actes criminels dans le cadre d’un appel d’offres accordé à une société de communication appartenant à ses proches collaborateurs.
Mkhize, qui a depuis été mis en congé spécial par le Président Cyril Ramaphosa, pour des allégations de corruptions, «pourrait avoir des conflits d’intérêts possibles» dans le choix de Digital Vibes, une société de communication engagée en mars 2020 par le ministère de la Santé pour travailler sur la communication publique sur le Covid-19.
L’ancien ministre «avait fait preuve de négligence lors de l’approbation des budgets concernant l’assurance maladie nationale et les campagnes médiatiques anti-Covid19», selon la presse.