Selon le chef d’état-major des armées françaises, le général François Lecointre, la force militaire antijihadiste du G5 Sahel va reprendre ses opérations dès le début de l’année prochaine.
Les groupes terroristes, malgré les interventions militaires lancées par la France en 2013, ont pu récupérer du terrain, en particulièrement au centre du Mali, au Burkina Faso et au Niger, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires.
Le G5 Sahel, devant cette situation désastreuse, est dans l’obligation de resserrer ses rangs et de poursuivre son projet de force conjointe avec l’appui des français et les aides internationales promises pour faire face aux groupes armés jihadistes.