Le gouvernement kényan vient de lancer un projet destiné à redynamiser la production piscicole du pays et réduire les importations depuis la Chine.
Selon la presse locale, cette initiative d’un coût global de 14 milliards de shillings (135 millions $) concernera 6 comtés disposant de fortes potentialités dans l’aquaculture. Elle apportera les intrants et du crédit aux acteurs dans l’optique de faire passer la production par producteur et par an de 100 kg à 1,2 tonne, d’ici 8 ans.
« Nous avons adopté un modèle de contractualisation dans lequel les coûts induits par l’approvisionnement en intrants comme les alevins et les aliments aux producteurs seront déduits lorsqu’ils vendront leur production », indique Sammy Macharia, directeur adjoint des pêches.