Smail Chergui, ancien ambassadeur de l’Algérie en Russie, est Commissaire de l’Union africaine à la paix et à la sécurité (CPS) depuis le 12 octobre 2013.
Ce n’est pas étonnant que plusieurs régions d’Afrique sont déchirées par les conflits alors que le premier responsable de la Commission de la paix et de la sécurité (CPS), Smail Chergui, est immergé dans les dérives et les abus en tous genres.
Ce responsable fait l’objet d’accusations d’abus sexuels, d’abus de pouvoir et de dérives administratives qui ont conduit à des démissions.
Les cas de favoritisme dans le recrutement et la promotion à des postes de responsabilité, rapportés par un mémo signé par 37 femmes employées à la CPS, aggravent le bilan de Smail Chergui, accusé d’impartialité dans les questions du genre.
Concernant les affaires d’abus sexuel qui ont éclaté dans certains pays africains, des informations circulent sur le penchant de Chergui pour les petites filles.
Une gamine d’une de ses domestiques aurait été vue seule avec le sexagénaire dans ses appartements privés. L’employée en question a été virée manu militari suite à une violente dispute avec Chergui.
D’après des voisins, l’habitation de la femme de ménage a été entièrement équipée.
Le poste de président de la Commission de la paix et de la sécurité de l’UA est un socle de cette union et les défaillances à de telles responsabilités de la part de Smail Chergui sont incompréhensibles s’il n’est pas en service commandé de son pays d’origine, qui fait de ce poste sa chasse gardée depuis sa création en 2001.