Des gardiens de troupeaux, munis des armes à feu, ont massacré tout un camp de voleurs de bétail qui étaient endormis.
Koba Ngacho a eu de la chance. Blessé trois fois et laissé pour mort, le jeune homme a été retrouvé vivant et évacué vers Juba pour y être opéré.
« Je suis heureux d’être vivant », raconte à l’AFP Koba, 20 ans, pendant qu’on l’emmène dans l’un des rares hôpitaux du pays capable de traiter des blessures complexes par balles.
Le Soudan du Sud connait périodiquement des affrontements meurtris intercommunautaires et interethnique.