Sahara Marocain : la junte algérienne obligée de se plier aux Nations Unies 

Depuis des décennies, le régime algérien n’arrête pas d’afficher son hostilité au royaume du Maroc sur le Sahara marocain.

La nouvelle résolution 2602, prorogeant d’un an le mandat de la MINURSO, adoptée vendredi par le Conseil de sécurité, réaffirme le caractère central des tables rondes, tant dans le format comme dans les modalités et les participants, le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et polisario, en tant que seul mécanisme de gestion du processus politique en vue d’un règlement du conflit artificiel autour du Sahara marocain. 

La majorité absolue a réitéré vendredi à New York son appui au plan d’autonomie marocain comme une base « sérieuse et crédible » pour parvenir à une solution politique à la question du Sahara et au soutien au nouvel Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara marocain, Staffan de Mistura.

L’Algérie, principal pays qui supporte et arme le polisario à Tindouf, une région située sur le territoire algérien, s’est encore une fois faite souffletée par l’instance internationale. La junte déclare ne pas vouloir participer à des tables rondes préconisées par la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU.

La politique haineuse d’un régime corrompu, sans scrupule, agressif et aux aboies, dénote son incapacité à faire face au Hirak. Les militants politiques algériens, opprimés par les services secrets du général Changriha, se sont accordé à dénoncer « l’escalade de la répression en Algérie », assurant que « la gravité de la situation actuelle présage d’une implosion sociale imminente ».

L’État en déliquescence (Failed state) du général Chengriha, sa marionnette Abdelmadjid Tebboune, et son acolyte Brahim Ghali, s’enlise dans une mare des oies. Parti prenante dans ce conflit qu’il a créé de toutes pièces, il se dérobe à son implication dans ce conflit en brandissant son arme ‘’gaz pétrole’’. 

Les Fake News de la presse qui ne dispose pas de ligne éditoriale mais uniquement d’une ligne téléphonique à la solde des services secrets algériens, sur le Maroc et sa politique de ses relations internationales, sur les instructions du régime de Chengriha, ont été démentis par plusieurs ministères étrangers, des ONG ainsi que des agences de presse de grande renommée.