Le gouvernement tanzanien a donné son feu vert pour l’utilisation du port de Dar es Salam comme second point d’exportation de la noix de cajou sur le marché international.
Selon Hussein Bashe, ministre adjoint de l’Agriculture, cette décision s’explique par la flambée des coûts du fret au niveau du port de Mtwara qui avait été désigné plus tôt cette année, comme seul moyen d’exportation de l’anacarde.
Selon la presse, les négociants doivent en effet payer entre 120 et 190 USD pour le transport d’une tonne de noix de cajou au niveau de ladite infrastructure contre 74 USD à Dar es Salam en raison de la pénurie de conteneurs liée à la pandémie de coronavirus.