Algérie: Quand un état terroriste fournit des drones à une organisation terroriste

La chaîne de télévision ukrainienne Freedom (FREEДОМ) a affirmé lundi 14/11/2022 que les russes attendaient la deuxième livraison de drones iraniens qui tardent à arriver, car les iraniens ont envoyé une cargaison de ces drones à l’organisation terroriste ‘’polisario’’ et l’armée russe est obligée d’attendre pour être livrée, lors d’une interview accordée à la chaîne ukrainienne, Victor Vertsner, expert des questions militaires.

L’Iran est en train d’exporter son terrorisme du moyen orient vers l’Afrique et surtout en Afrique du nord pour déstabiliser la région et par la suite l’Europe.

Selon d’autres informations, les milices des Gardiens de la révolution iranienne du général Hossein Salami et du hezbollah s’activent dans des bases militaires algériennes, placées sous le contrôle des services de renseignement militaires du général Chengriha.

Saïd Chengriha peut compter sur le général iranien Hossein Salami, qui avait promis de mener la vie dure à Israël par le biais du Hezbollah.

Du matériel militaire iranien, dont des drones Shahed, ont été livrés à deux bases militaires, l’une située dans la région de Tindouf et l’autre dans la IV région militaire (quatrième région d’Ouargla), prés de la frontière libyenne. L’acheminent s’effectue principalement sous couverture d’aide humanitaire.

Amer Mansour, un membre du groupe polisario, avait annoncé en octobre, depuis Nouakchott, capitale de la Mauritanie, qu’ils allaient mener des attaques par des drones.

Les Etats Unis, l’Europe et les Pays arabes suivent avec une grande appréhension l’alliance de l’Iran avec l’Algérie, qui est impliquée dans la déstabilisation de certains pays et le soutien aux groupes terroristes jihadistes.

Le président iranien Ebrahim Raïssi figure sur la liste noire des responsables iraniens sanctionnés par Washington.

C’est l’Iran et le Hezbollah libanais qui, à travers un soutien massif aux rebelles Houthis, se livrent à une longue action de déstabilisation de l’Arabie Saoudite, des Emirats Arabes unis et même d’Israël.

Pour l’Iran, l’invasion de l’Ukraine se justifie par les « provocations » de l’Otan, un prétexte pour soutenir Moscou et pour gérer le dossier nucléaire iranien avec l’Agence internationale de l’Energie atomique (AIEA).

Pour se maintenir, les deux régimes iranien et algérien essaient de consolider leurs emprises contestées par les populations, pour profiter des richesses de leurs pays.