A l’appel du mouvement de contestation, une deuxième journée de désobéissance civile a été observée lundi au Soudan, pour faire face à la répression des généraux qui contrôlent le pays après la chute de l’ex-président Omar el Bachir.
Une semaine après les dispersions des manifestants par les militaires qui ont fait une centaine de morts et plusieurs blessés, trois opposants soudanais qui avait été arrêtés dans le cadre de cette répression ont été libérés lundi, a annoncé la télévision d’Etat.
Quelques magasins ont rouvert à Khartoum, même si la majeure partie des la capitale est restée déserte. Des coupures de courant et d’internet ont en outre rendues les communications difficiles.