Un plan national pour lutter contre le travail illégal vient d’être approuvé en Conseil des ministres en vue de garantir les droits fondamentaux des salariés et lutter contre le chômage.
Le ministre djiboutien du Travail a énuméré trois infractions constitutives du travail illégal à savoir la non-déclaration des salariés à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS), l’emploi intérimaire irrégulier et l’emploi de la main d’œuvre étrangère sans permis de travail.
Le travail illégal constitue de ce fait un double préjudice d’une part, il pénalise les salariés, leurs droits ne sont pas respectés tant du point de vue de la rémunération, que du temps du travail et des repos, a souligné le ministre.