Des centaines de miliciens du polisario installés dans les camps de Tindouf en Algérie, s’activent au sein de différentes organisations ou groupes terroristes, dont les deux principales sont Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) et l’État islamique dans le Grand Sahara (EIGS).
Ce dernier est dirigé par Adnane Abou Walid al-Sahraoui, nom de guerre de Lehbib Ould Ali Ould Saïd Ould Joumani, et qui trouve refuge à Tindouf.
Les éléments terroristes du polisario sont embrigadés par des mercenaires du Hezbollah qui sont à la solde du régime iranien.
Ces mercenaires libanais, syriens et iraniens étaient sous le commandement du général iranien Qassem Soleimani.
Actuellement, ils sont pris en charge par la sécurité militaire algérienne sur instructions directes du chef d’état-major de l’armée, le général Saïd Chengriha.
L’homme fort de l’Algérie ne se soucie aucunement des sommes faramineuses dépensées chaque année de la trésorerie générale algérienne et sans justificatifs.
Toutes ces liaisons placent la région du Sahel sous une menace terroriste permanente, plus que par le passé.
La porosité des frontières, la pauvreté, le manque d’éducation, et surtout l’ingérence de certains états sans scrupules, favorisent la prolifération et la recrudescence des activités terroristes.
Dans ce contexte, même les pays de l’Europe craignent d’être visés par cette menace terroriste.