Le président Muhammadu Buhari a condamné « le violent meurtre de dizaines de miliciens », sans faire état d’un bilan précis, dans un communiqué publié mardi après-midi. Le chef de l’Etat a de nouveau assuré « tout faire (…) pour combattre de manière décisive les criminels ».
Une soixantaine de combattants miliciens d’auto-défense ont été tués par un ou plusieurs groupes criminels armés qui s’activent depuis des années dans le centre et le nord-ouest du Nigeria.
Ces gangs criminels, appelés localement « bandits », attaquent et incendient les villages, volent le bétail, pillent et tuent les habitants.
Le Nigéria est confronté également aux différents groupes jihadistes islamistes qui sèment la terreur, dont Boko Haram.