Patrice-Edouard Ngaissona est arrêté le mercredi 12 décembre en France, suite d’un mandat d’arrêt lancé contre lui par la Cour pénale internationale (CPI).
En tant qu’ex-chef des milices anti-balaka, il est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité commis dans l’ouest de la Centrafrique entre septembre 2013 et décembre 2014.
Il avait réussi à se faire élire dans le comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF), début février à Casablanca au Maroc, provoquant l’indignation des défenseurs des droits de l’homme.
Les organisations de défense des droits de l’homme se sont réjouies de l’arrestation Ngaissona.