Les services sécuritaires et des renseignements algériens ont commencé à mettre en exécution une des techniques électorales les plus subtiles et insidieuses, avec la création de bureaux de vote fictifs pour manipuler les résultats électoraux, sans éveiller les soupçons des observateurs internationaux, selon des sources locales.
Cette stratégie est mise en place pour créditer le président Abdelmadjid Tebboune d’un score avoisinant les 78% ou plus pour une soi-disant participation de 55%. Il s’agit en plus de masquer l’abstention record à l’élection présidentielle contestée de 2019.
Ce procédé est inspiré de la manipulation des masses montée par le nazi Joseph Goebbels, qui semble au premier abord être une simple erreur administrative ou une anomalie logistique, a en réalité des conséquences dévastatrices sur l’intégrité des élections.
Cette technique permet de manipuler les résultats en introduisant des bulletins de vote supplémentaires ou frauduleux dans le système, augmentant ainsi artificiellement le nombre de voix pour un candidat spécifique, en occurrence l’actuel président Abdelmadjid Tebboune, sortant et gagnant.
Les fraudeurs sont en train de mettre en place ces bureaux de vote qui n’existent pas réellement sur le terrain. Ces bureaux peuvent apparaître dans des listes officielles, souvent en utilisant des adresses fictives ou non vérifiées.
Fini les anciennes techniques consistant à glisser des bulletins de vote dans des urnes, où même ces votes peuvent être fabriqués ou dérobés à des électeurs réels, et leur nombre souvent ajusté pour influencer les résultats dans une proportion déterminée.
Les circonscriptions et les zones militaires offrent des contextes favorables uniques pour la mise en œuvre de ces bureaux de vote fictifs en raison de leur nature particulière, souvent avec la complicité de certains membres du personnel militaire.