Quelle stratégie faudrait-il adopter pour résoudre l’épineuse question du Nord au Mali ? Comment maintenir les équilibres en place, bien sécuriser la région, neutraliser les rebellions et faire face aux répercussions et débordements des troubles qui secouent les pays limitrophes ?
Autant de questions qui s’imposent avec acuité. Elles sont relatives à la paix, à la sécurité et au développement dans le Nord du Mali et ne cessent de peser de tout leur poids sur l’échiquier géopolitique régional.
En effet, le Nord du Mali est confronté plus jamais aux risques de militarisation terroriste, à la recrudescence des violences et à la récurrence des rebellions à forte degré de déstabilisation régionale. S’étendant sur un espace géographique des trois régions économiques et administratives de Tombouctou, Gao et Kidal, soit près des deux tiers du territoire malien, avec environ 10 % de la population du Mali, le Nord du Mali a produit et ne cesse de produire encore des crises et des conflits, qui non seulement impactent la stabilité régionale mais affectent également la sécurité internationale.
De par sa structuration socio-économique et ses caractéristiques intrinsèques géographiques et historiques, il présente un faisceau de facteurs crisogenes qui le prédisposent à devenir une région à haut risque, propice à l’éclosion de groupuscules séparatistes et mafieux à la recherche de sources de financement illégal et d’enrichissement illicite.
Au fur et à mesure que l’étau se resserre sur les terroristes et les criminels de tous bords, d’autres zones sont investis imperceptiblement par des combattants et des groupes clandestins très mobiles de plusieurs nationalités en quête d’espaces d’entrainement, de couloirs et de sentiers non battus et hors contrôle et des refuges pouvant servir de base de repli.
Ainsi, le Nord de Mali est devenu une terre de prédilection aux activités mafieuses et terroristes qui menacent les pays sahéliens, l’Afrique du Nord et par ricochet la sécurité internationale. Déshérité et désertique qu’il est, il cristallise, à lui seul, le danger imminent qui guette la stabilité et la paix dans la région, dans la mesure où il est devenu une zone propice à l'enracinement et à l'expansion de cellules terroristes et une place idéale des malfrats de tout poil.
Frontières longues et poreuses, un désert difficilement ou pas du tout contrôlable, des zones arides, une sécheresse persistante et une excentricité géographique, tous ces éléments facilitent grandement la tâche aux recruteurs des groupuscules qui s’activent dans la région. C’est ainsi que l’on assiste à des opérations d’embrigadement, d’endoctrinement et d’entrainement de nouveaux recrus qui viennent grossir de plus en plus les rangs des bandes armées qui circulent dans la région en se jouant des frontières avec les pays limitrophes.
En effet, le Nord du Mali est confronté plus jamais aux risques de militarisation terroriste, à la recrudescence des violences et à la récurrence des rebellions à forte degré de déstabilisation régionale. S’étendant sur un espace géographique des trois régions économiques et administratives de Tombouctou, Gao et Kidal, soit près des deux tiers du territoire malien, avec environ 10 % de la population du Mali, le Nord du Mali a produit et ne cesse de produire encore des crises et des conflits, qui non seulement impactent la stabilité régionale mais affectent également la sécurité internationale.
De par sa structuration socio-économique et ses caractéristiques intrinsèques géographiques et historiques, il présente un faisceau de facteurs crisogenes qui le prédisposent à devenir une région à haut risque, propice à l’éclosion de groupuscules séparatistes et mafieux à la recherche de sources de financement illégal et d’enrichissement illicite.
Au fur et à mesure que l’étau se resserre sur les terroristes et les criminels de tous bords, d’autres zones sont investis imperceptiblement par des combattants et des groupes clandestins très mobiles de plusieurs nationalités en quête d’espaces d’entrainement, de couloirs et de sentiers non battus et hors contrôle et des refuges pouvant servir de base de repli.
Ainsi, le Nord de Mali est devenu une terre de prédilection aux activités mafieuses et terroristes qui menacent les pays sahéliens, l’Afrique du Nord et par ricochet la sécurité internationale. Déshérité et désertique qu’il est, il cristallise, à lui seul, le danger imminent qui guette la stabilité et la paix dans la région, dans la mesure où il est devenu une zone propice à l'enracinement et à l'expansion de cellules terroristes et une place idéale des malfrats de tout poil.
Frontières longues et poreuses, un désert difficilement ou pas du tout contrôlable, des zones arides, une sécheresse persistante et une excentricité géographique, tous ces éléments facilitent grandement la tâche aux recruteurs des groupuscules qui s’activent dans la région. C’est ainsi que l’on assiste à des opérations d’embrigadement, d’endoctrinement et d’entrainement de nouveaux recrus qui viennent grossir de plus en plus les rangs des bandes armées qui circulent dans la région en se jouant des frontières avec les pays limitrophes.