Depuis l’indépendance, le peuple algérien est toujours à la recherche de sa réelle autodétermination. Matraquée, bafouée, l’âme algérienne reste réprimée par une junte aux abois.
Pour éclairage, le peuple algérien subit la malédiction de ses dirigeants dans tous les domaines, surtout économique et sanitaire avec le virus Covid 19.
La caste militaire, haineuse de ses origines, régnante, en accusant des pays démocratiques, puise dans l’incertitude et l’incompétence.
La junte justifie son existence par le limogeage de hauts gradés devenus une source de menace et de concurrence dans les affaires de corruption et d’exploitation des richesses sous la couverture étatique.
La majorité de ces officiers écartés ou incarcérés connait les magouilles et les transactions faites avec les organisations terroristes dans le Sahel et en Afrique ainsi que d’autres au moyen orient et en Amérique latine.
Malgré la présence des forces armées étrangères, onusiennes et locales qui luttent contre le terrorisme dans ces régions, le général Chengriha et son entourage rusent en utilisant le hizbullah et le pays des mollahs, en occurrence l’Iran.
Des connexions entre les services de renseignement du général Changriha, les milices chiites et le cartel des trafiquants de drogue et des armes, ont été révélées par plusieurs instances internationales.
L’Algérie, pays des villes blanches et du soleil perdu, restera toujours dans l’imaginaire d’un adieu.