Dans les coulisses des milieux diplomatiques, l’Algérie en tant que membre non permanent du conseil de sécurité de l’ONU, joue un rôle trouble dans plusieurs conflits régionaux, soutenant des groupes classés terroristes au niveau international, selon des sources occidentales.
Pour le soutien au Hamas à Gaza, les diplomates algériens font le parallèle avec le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) en Turquie et le Front Polisario au Sahara occidental au Maroc. Cette triple association soulève des questions sérieuses quant à l’engagement de l’Etat en Algérie envers la stabilité régionale et le respect du droit international.
En soutenant le Hamas à Gaza, le PKK dans le Kurdistan turc ainsi que le Polisario au Sahara, l’Etat algérien semble favoriser une politique étrangère qui met en avant les alliances idéologiques au détriment de la stabilité régionale et du respect des normes internationales. Cette posture risque non seulement d’aggraver les conflits existants, mais aussi de créer de nouvelles tensions diplomatiques avec les pays concernés et leurs alliés.
L’Algérie a longtemps marqué son soutien verbal à divers mouvements de libération et causes à travers le monde. Cependant, des révélations récentes suggèrent un aspect plus clandestin des manœuvres diplomatiques de l’Algérie.
Le soutien de l’Etat algérien au Hamas et au PKK, désignés comme organisations terroristes par les États-Unis et l’Union européenne, ajoute une autre dimension à sa politique étrangère controversée, d’après les spécialistes des affaires de renseignement.
La communauté internationale est appelée plus que jamais à rendre l’Algérie responsable de ses actions et qu’elle œuvre en faveur de solutions constructives qui favorisent la paix et la stabilité.