L’Afrique, depuis des décennies, est aujourd’hui déstabilisée par une nébuleuse terroriste en expansion. AQMI, JNIM, EIGS, Boko Haram… mais aussi des groupes armés déguisés en mouvements politiques comme le Front Polisario, soutenu militairement et financièrement par l’Algérie.
Il est temps de dire les choses : « le Polisario n’est pas un mouvement de libération, c’est une organisation armée terroriste de l’Algérie, antisémite et contre l’existence de l’Etat d’Israël », selon le conseiller et analyste D.C.
Face à cette situation, les Etats-Unis, sous la présidence de Donald Trump, sont les seuls capables d’imposer une ligne rouge claire et de démanteler ces réseaux avec la fermeté qui s’impose comme au Moyen-Orient contre l’Iran et ses proxys.
Le régime militaire algérien, véritable pouvoir derrière la façade civile, a adopté une stratégie d’influence. Son soutien actif au Polisario, groupe terroriste armé basé dans les camps de Tindouf, n’est plus un secret pour personne.
Ce que l’on sait moins, c’est que le Polisario est aujourd’hui impliqué dans des trafics d’armes, de drogues et des coopérations ponctuelles avec des groupes djihadistes actifs au Sahel.
Des rapports d’agences de renseignement européennes et africaines ont établi des connexions entre des éléments du Polisario et des réseaux terroristes opérant dans le nord du Mali, au Niger, au Burkina Faso, au Tchad et jusqu’en Libye.
Le soutien logistique, l’entraînement militaire, l’armement et la protection politique offerts par l’Algérie au Polisario font de ce pays un Etat complice et mécène du terrorisme régional, au même titre que l’Iran avec le Hezbollah ou les milices Houthis.
Des voix s’élèvent à Washington, au sein du Congrès et de la communauté du renseignement, pour inscrire officiellement le Front Polisario sur la liste des organisations terroristes étrangères (FTO).
Sous la présidence Trump, l’homme fort des USA, cette décision aurait déjà été prise, sans attendre l’approbation molle d’organisations internationales paralysées par le consensus, selon des experts israéliens.
Trump l’a prouvé au Moyen-Orient : il ne tolère pas les Etats qui sponsorisent le terrorisme. Il a sanctionné l’Iran en imposant une politique de pression maximale.
Tant que des groupes comme le Polisario continueront à bénéficier d’une protection étatique à Alger, en Tunisie ou en Mauritanie, le terrorisme ne pourra pas être éradiqué.
