Abordant les dissemblances entre les situations en 2012 et en 2019, souvent pour mettre en garde le président de la République Macky Sall contre les effets d’une troisième candidature, « certains n’hésitent pas à convoquer la période préélectorale de 2012, qui avait provoqué des pertes en vies humaines. Mais, à en croire certain spécialistes, du point de vue du droit, aucune confusion n’est possible entre les deux situations ».
Pour la presse qui cite des experts en droit constitutionnel, le débat sur la possibilité d’un troisième mandat présidentiel est « malsain ». La Constitution du 22 janvier 2001 modifiée en 2016, ne permet à aucun président de la République de briguer un troisième mandat », souligne la publication.