Israël a récemment annoncé qu’il permettrait l’entrée d’aide humanitaire en provenance d’Égypte vers la bande de Gaza, tout en maintenant un strict blocus sur ce territoire palestinien qui a été continuellement bombardé, depuis l’attaque sanglante déclenchée le 7 octobre par le groupe terroriste Hamas.
Selon un communiqué du bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, Israël ne s’opposera pas à l’acheminement d’aide humanitaire, en particulier de denrées alimentaires, d’eau et de médicaments destinés à la population civile vivant dans le sud de la bande de Gaza.
Toutefois, il est précisé qu’Israël ne permettra pas l’acheminement d’aide humanitaire depuis son propre territoire vers la bande de Gaza tant que les otages détenus par le Hamas ne seront pas libérés.
Il est important de noter que ce geste est centré sur l’aide humanitaire essentielle pour les civils de Gaza et ne concerne pas d’autres types de cargaisons.
Par ailleurs, le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, a exprimé son opposition à un « déplacement » massif de Palestiniens de Gaza vers l’Egypte, soulignant ainsi les défis et les préoccupations liés à la situation dans la région.
Hamas est considéré comme une organisation terroriste par plusieurs pays et entités internationales, notamment les États-Unis d’Amérique (USA), l’Union européenne, Israël, le Canada, et d’autres.
Les terroristes du Hamas sont soutenus principalement par l’Iran, le Hezbollah Libanais, l’Algérie, le Qatar et la Turquie.
Ces pays ont fourni un soutien financier, politique et logistique au Hamas au fil des ans, selon les services de renseignement occidentaux et le département du Trésor Américain.