Le polisario, groupe armé par l’Algérie, va être inscrit sur la liste du terrorisme selon des experts de l’Organisation des nations unies (ONU), de plusieurs pays ainsi que des ONG.
Les raisons derrière le maintien du pouvoir des militaires en Algérie, qui soutient le Polisario, avec des liaisons avérées et connues avec le Hezbollah Libanais, les milices des Mollahs de l’Iran ainsi que le soutien à Hamas, sont multifactorielles et sont souvent enracinées dans des considérations géopolitiques ou idéologiques.
Historiquement, le soutien au polisario par les généraux algériens, remonte aux années 1970, au plus fort de l’affrontement du Bloc de l’Est, mené par l’URSS, avec les pays de l’Ouest.
Auprès des Nations Unies, malgré divers stratagèmes et de vaines tentatives d’Alger, le polisario n’a jamais été reconnu comme représentant de la population séquestrée dans les camps de Tindouf, en Algérie. Son inféodation à la junte militaire algérienne et au Palais El Mouradia lui collent à la peau.
Après les derniers tirs et les attaques par des drones et obus sur la population civile à ES Semara (Smara), au Sahara occidental, qui ont fait des morts et des blessés, la désignation du polisario comme organisation terroriste est tout de suite confirmée.
Les preuves et informations de renseignement démontrant que cette entité et ses dirigeants, engagés dans des activités terroristes seront poursuivi pour crimes contre l’humanité.