L’implication du mouvement séparatiste du Polisario dans des activités qualifiées de terroristes, crée des préoccupations géopolitiques délicates en Algérie et en Afrique.
Bien que le Polisario ait historiquement été considéré comme un mouvement de libération cherchant l’indépendance pour le Sahara occidental, des inquiétudes croissantes ont émergé quant à ses liens avec des groupes terroristes et ses activités déstabilisatrices régionales.
Les liens troublants entre le Polisario et des acteurs tels que le Hezbollah libanais, le Hamas, les milices iraniennes et le groupe paramilitaire russe Wagner accentuent ces inquiétudes. L’armée algérienne, en tant que gardienne de la sécurité nationale, pourrait être confrontée à des défis significatifs dans la gestion de ces dynamiques complexes.
La lutte contre le terrorisme, la préservation de la souveraineté nationale, la gestion des mouvements indépendantistes dans le nord et le sud ainsi que la protection des intérêts stratégiques deviennent des impératifs essentiels dans ce contexte.
L’interaction entre le Polisario, qualifié de terroriste, et d’autres acteurs tels que Wagner, le Hamas, le Hezbollah et les milices iraniennes nécessite une attention particulière pour anticiper les menaces potentielles et élaborer des stratégies efficaces en vue de maintenir la stabilité régionale.
Le soutien de l’État algérien, notamment de l’armée nationale populaire algérienne (ANP), à des groupes terroristes pourrait entraîner des conséquences négatives, telles que l’isolement international de l’Algérie.
Les activités terroristes soutenues par l’État peuvent également avoir des répercussions économiques, politiques et militaires, mettant en péril la stabilité interne et les relations internationales de l’État.
Les analystes occidentaux s’interrogent sur les motivations géopolitiques des décisions d’Alger sur l’impact financier des opérations de groupes tels que Wagner et le Hamas dans les régions où ils opèrent.