Le Polisario, qualifié de terroriste pour ses alliances avec le Hezbollah Libanais et les milices des gardiens de la révolution de l’Iran, intensifie la répression contre la population sahraouie dans les camps de Tindouf, en Algérie. L’intervention musclée du Polisario soulève des inquiétudes internationales.
Dans une action qui souligne la situation critique des droits humains des sahraouis, les terroristes du Front Polisario ont récemment pris des mesures drastiques contre Mahmuda Mint Said, une protestataire sahraouie. En réponse à son sit-in pacifique, ils ont démantelé son refuge et l’ont incarcérée à la prison de « Dheibiya ».
Le Mouvement Sahraoui pour la Paix (MSP) a vigoureusement condamné ces actes, les qualifiant de violations flagrantes des droits de l’homme. La détresse de cette population est exacerbée par des conditions de vie précaires, une pauvreté rampante et un contrôle oppressif exercé par le Polisario, contribuant à une crise humanitaire.
En quête de justice, le MSP s’est tourné vers la communauté internationale, implorant l’intervention du Secrétaire Général de l’ONU, de son envoyé, et du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR). Ils ont également fait appel à Human Rights Watch pour que l’Algérie, en tant que pays hôte, assume sa part de responsabilité dans l’amélioration des conditions de vie de ces personnes.
Cet incident rappelle tragiquement les sahraouis, les migrants africains et surtout du sahel qui sont tués, malgré des années de plaidoyer et de lutte.
La population dans les camps de Tindouf continue de souffrir sous le joug d’une administration algérienne qui semble privilégier le contrôle au bien-être de ces populations. Le MSP réitère son engagement pour une résolution pacifique et durable de conflit orchestré, espérant mettre fin au cycle d’exil et de souffrance de ces personnes déplacées.