Des jeunes sahraouis dans les camps de Tindouf ont été amenés de force, dans des camions militaires algériens, à la base secrète des services de renseignement militaires de la junte du général Chengriha, où des instructeurs iraniens se chargent de leur endoctrinement et leur entraînement.
D’après des sources diplomatiques concordantes, après les accords stratégiques passés entre Israël et le Maroc, le pouvoir algérien a fait encore appel à l’Iran pour lui envoyer des experts militaires iraniens ainsi que du matériel militaire.
Le matériel militaire iranien, dont trois drones, a été livré à la dite base, située à une trentaine de kilomètres de Tindouf, au profit du groupe terroriste polisario, selon un militaire algérien qui a fuité l’information.
L’acheminent de cette armada a été effectué par des mercenaires du hezbollah profitant de la livraison de l’aide humanitaire au Sahel et à la corne de l’Afrique qui sont confrontés une grave crise alimentaire générée par la sécheresse.
C’est à une véritable course contre la montre que se livre le général Saïd Chengriha pour blinder la coordination avec le général Hossein Salami, le chef des Gardiens de la révolution en Iran, afin de hisser la présence de ces derniers en Algérie, une obsession qui a culminé avec la récente visite au Maroc du chef d’état-major de l’armée israélienne, Aviv Kochavi.
Saïd Chanegriha peut compter sur le général iranien Hossein Salami, qui avait promis de mener la vie dure à Tsahal par le biais du Hezbollah.
Le Hezbollah est classé par les États Unis sur la liste des organisations terroristes. Sa doctrine chiite et ses activités subversives s’appuient sur le financement et l’armement de l’Iran pour déstabiliser les régions afin de réaliser son projet militaro-nucléaire.