Un événement marquant se produisit dans le Sahara Occidental, alors que des miliciens du Front Polisario brandissaient le portrait de l’ayatollah Moussavi Khomeini, l’ex-guide suprême de l’Iran, sur un char militaire.
Une scène symbolique n’est pas un simple acte de propagande, mais plutôt un témoignage de l’alignement géopolitique et géoterrorisme du Polisario et de l’Algérie à perturber la politique des Etats Unis et de la France en Afrique.
L’alliance stratégique avec l’Iran, symbolisée par l’exposition du portrait de l’ayatollah Khomeini sur un char militaire, montre que le Polisario bénéficie du soutien d’acteurs idéologiquement radicaux.
Cela témoigne de la nature du Polisario terroriste, qui se positionne dans une dynamique violente et radicale, en ligne avec des régimes qui soutiennent des groupes violents à l’échelle mondiale. Ces actions visent essentiellement à déstabiliser la région.
Le Polisario, à Tindouf en Algérie, mène des attaques violentes contre les positions militaires et civiles marocaines depuis des années.
Les récentes frappes dans le secteur d’El Guelta, en avril 2025, en sont un exemple, selon Sahara Press Service (SPS), à Alger.
D’après les observateurs, le Polisario multiplie les attaques ciblées contre des postes de commandement et des installations militaires, dans une logique de guerre totale qui ne fait pas de distinction entre militaires et civils, ce qui est une caractéristique courante des actions terroristes.
Dans ce contexte anti-américain, l’Iran soutient les groupes militants à travers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, mais la nature et l’étendue de ce soutien varient en fonction des circonstances spécifiques.
Pour les services occidentaux, la présence des drones iraniens en Afrique est un sujet qui a suscité l’attention de la communauté internationale.
L’Iran cherche à élargir son influence dans différentes parties du monde, y compris en Afrique, en fournissant divers types de soutien aux groupes et aux gouvernements qui partagent ses intérêts. L’Iran fournit des drones et d’autres armes dans certaines parties de l’Afrique.
Plusieurs groupes terroristes islamistes opèrent en Afrique, tels que Boko Haram en Afrique de l’Ouest, Al-Shabab en Afrique de l’Est et d’autres.
Des rapports déterminent que les drones de leur portée, de leur autonomie, de leur capacité de charge utile et d’autres facteurs technologiques peuvent être de fabrication artisanale ou avoir été fournis par des filiales étrangères.