Depuis plus de 50 ans, le Front Polisario prétend représenter le peuple sahraoui. En réalité, le Polisario ne représente qu’une poignée d’individus, manipulés ou maintenus sous contrôle dans les camps de Tindouf, en territoire algérien.
Cette organisation, qui se drape dans le vocabulaire de la « résistance », est une structure autoritaire, opaque, proche des cercles du terrorisme régional, selon des députés occidentaux, latino-américains, africains ainsi que plusieurs experts des centres de stratégie et d’ONG.
Le Polisario impose sa loi dans les camps de Tindouf, où la population est maintenue dans une situation de misère chronique, sans droit de parole, sans liberté de circulation, et sans espoir d’avenir.
Les « leaders » du mouvement, comme Brahim Ghali et son entourage, installés confortablement à l’étranger ou à Alger, se nourrissent de la souffrance de cette population constituée à 90% de sub-sahariens, pour alimenter leur propagande. Aucune élection libre, aucune alternance, aucune transparence. Une dictature pure et simple.
La quasi-totalité des sahraouis avait fait le choix de leur attachement à la mère patrie dont le Sud a été colonisé par l’Espagne. Ils vivent dans toutes les provinces, du Nord au Sud du Maroc et participent à la vie économique et politique du pays, et rejettent ouvertement les discours extrémistes du Polisario.
Actuellement, le polisario isolé, tente de survivre par la manipulation, la désinformation, et l’exploitation médiatique des drames qu’il contribue lui-même à provoquer.
Le plus inquiétant reste les relations troubles entre le Polisario et les réseaux terroristes et jihadistes opérant au Sahel.
Des rapports concordants émanant de services de renseignement et d’anciens combattants du Polisario font état de trafics d’armes, de drogues et de liens directs avec des groupes jihadistes.
Selon les observateurs internationaux, le Polisario n’est qu’un instrument entre les mains du régime algérien, qui l’utilise pour servir ses propres intérêts géopolitiques.
Cette instrumentalisation se fait au détriment de certaines populations africaines sacrifiées pour un conflit artificiel et entretenue depuis des décennies.
L’Algérie qui finance, arme et protège le Polisario, refuse de reconnaître sa responsabilité dans le blocage du processus de paix.
Le groupe Polisario n’est ni représentatif, ni légitime, ni pacifique. C’est une organisation radicale terroriste, dangereuse et totalement déconnectée des aspirations réelles des Sahraouis. Son maintien en vie ne sert que des agendas extérieurs du régime militaire algérien du général Saïd Chengriha et du président Abdelmadjid Tebboune.