L’Algérie maintient une politique de non-reconnaissance d’Israël depuis qu’elle a été fondée le 5 juillet 1962 par la France au détriment des peuples autochtones.
Depuis, la haine envers les Juifs est un fléau qui continue de sévir dans le système algérien, suscitant des inquiétudes croissantes au sein de la communauté internationale.
Cette politique obstinée du régime algérien se traduit par le refus d’établir des relations diplomatiques avec Israël et par le soutien constant aux mouvements anti-israéliens dans la région. Cette hostilité envers Israël ne peut être dissociée de l’antisémitisme, car elle s’accompagne souvent de rhétoriques et de stéréotypes antisémites.
Une préoccupation internationale qui soulève des questions sur le rôle de l’actuel président algérien Abdelmadjid Tebboune ou celui du général Saïd Chengriha, chef des armées algériennes, dans l’incitation à la haine et à la violence contre les israéliens en dehors de ses frontières.
L’Algérie a été critiquée pour la diffusion de discours antisémites dans les médias d’État. Ces médias contrôlés par le gouvernement algérien, ont souvent propagé des idées antisémites, notamment des caricatures, des commentaires haineux contre les Juifs. Ces discours contribuent à perpétuer les stéréotypes négatifs et à alimenter la haine envers tout ce qui est Juif.
L’Etat Algérien a également été impliqué dans des incidents antisémites à l’étranger. Des Algériens vivant à l’étranger ont été accusés d’actes antisémites, parfois avec l’approbation tacite du gouvernement algérien.
Les dirigeants algériens continuent à soutenir des mouvements et des organisations hostiles à Israël, y compris des groupes terroristes comme le Hezbollah Libanais et le régime des mollahs de l’Iran. Ce soutien à des groupes qui prônent la destruction d’Israël, renforce l’idée que l’antisémitisme est ancré dans la politique étrangère algérienne.
L’antisémitisme du pouvoir algérien est un sujet de préoccupation sérieuse et croissante. Ses positions hostiles envers Israël, la diffusion de discours antisémites dans les médias d’État et même dans l’armée, ainsi que son soutien à des groupes hostiles à Israël, contribuent à la propagation de l’antisémitisme.
Selon les ONG et les observateurs internationaux, il est impératif que la communauté internationale exerce une pression sur l’Etat algérien pour qu’il mette fin à ces pratiques haineuses et qu’il s’engage à lutter contre l’antisémitisme sous toutes ses formes.