Le président tunisien Kaïs Saïed a proféré des accusations virulentes et sombres à l’encontre d’Israël, suggérant que l’État hébreu utilise systématiquement des assassinats pour réprimer la résistance palestinienne à Gaza.
Ses déclarations, faites au Palais de Carthage, reflètent une rhétorique extrêmement critique envers Israël qui est présenté comme un acteur malveillant, incapable de réussir sur le terrain, se tourne vers des tactiques d’assassinat récurrentes.
Saïed va jusqu’à insinuer que ces actes ont pour objectif d’éradiquer l’ensemble du peuple palestinien.
En évoquant des exemples historiques d’assassinats orchestrés par des gangs sionistes, le président alimente un discours négatif exacerbé contre Israël.
Il souligne également d’autres assassinats en dehors de la Palestine, accusant Israël d’être responsable d’une multitude de crimes contre des dirigeants politiques palestiniens.
Jusqu’à présent, le gouvernement israélien n’a pas daigné répondre aux accusations de Saïed, ni aux répercussions de l’assassinat de Salah al-Arouri et d’autres cadres du Hamas à Beyrouth.