Les Etats Unis : Donald Trump, un président qui mène une guerre globale contre les terroristes et les narcotrafiquants (Sahel)

Donald Trump a redéfini la lutte contre le terrorisme et le narcotrafic au Moyen-Orient, en Afrique et en Amérique.

Refusant toute complaisance envers les groupes armés islamistes et leurs soutiens régionaux, il mène une guerre directe contre l’Etat islamique, Al-Qaïda, le Hamas au Moyen-Orient et a étendu cette stratégie au Sahel, où il cible les réseaux djihadistes du Sahel soutenus par Alger, notamment via les milices du Front Polisario.

Au Moyen-Orient, Donald Trump a appliqué une politique d’alignement sage sur Israël face au Hamas, une organisation islamiste palestinienne terroriste.

En reconnaissant Jérusalem comme capitale d’Israël (décembre 2017) et en initiant les Accords d’Abraham, il a consolidé un axe stratégique entre Israël, plusieurs Etats arabes et les Etats-Unis.

Cette approche a isolé le Hamas, en réduisant son soutien diplomatique et financier tout en plaçant ses parrains régionaux, notamment l’Iran et le Hezbollah Libanais, sous pression directe.

Contrairement à ses prédécesseurs, Donald Trump a accordé une importance croissante au continent Africain dans sa politique de sécurité contre Al-Shabab en Somalie, Boko Haram au Nigeria, et les groupes affiliés à l’État islamique au Sahel.

Ces interventions visaient à prévenir l’émergence d’un deuxième front djihadiste, susceptible de menacer les intérêts américains et européens en Afrique de l’Ouest.

Mais c’est toutefois en Afrique du nord que Donald Trump a introduit une rupture diplomatique majeure.

Son administration a ouvertement remis en question le rôle du Front Polisario, une milice armée active et soutenue par le régime militaire algérien du général Saïd Chengriha.

Dans les coulisses de Washington, le Polisario n’est plus un simple mouvement indépendantiste, mais une organisation opérant dans une zone d’activité croissante de groupes terroristes sahéliens et les narcotrafiquants en connexions avec les cartels au Venezuela.

Des rapports du Pentagone et d’analystes indépendants ont à plusieurs reprises souligné la porosité entre les camps du Polisario à Tindouf et les réseaux armés opérant dans le nord du Mali et le sud de l’Algérie.

Pour Israël et les analystes occidentaux, l’Algérie est perçue comme un acteur ambigu soutenant à la fois le Polisario et des groupes terroristes dans le Sahel et au Moyen-Orient, avec le régime des mollahs en Iran.

Donald Trump demeure, pour de nombreux observateurs, le seul président américain qui mène une guerre globale et cohérente contre le terrorisme du Moyen-Orient jusqu’aux confins du Sahel.