Le Premier ministre Boubou Cissé avait présidé jeudi à Bamako, la cérémonie de lancement du Projet Redevabilité Publique et Participation des Femmes au Mali (RPPFM), en présence des membres du gouvernement, de l’Ambassadeur du Canada au Mali, Louis Verret, du Vérificateur Général, Samba Alhamdou Baby, des responsables des organismes de lutte contre la corruption au Mali et du Président du Conseil National de la Société Civile, Bouréima Allaye Touré.
Et d’ajouter que le Projet Redevabilité Publique et Participation des Femmes au Mali vise à promouvoir une gouvernance responsable et inclusive au Mali à travers un renforcement de trois acteurs clés que sont: le Bureau du Vérificateur Général du Mali, le Pôle Économique et Financier du Ministère de la Justice ainsi que les comités de veille citoyenne de la société civile.
Il s’agit de renforcer le plaidoyer en faveur de l’imputabilité accrue et d’une participation effective des femmes dans la sphère publique.
Selon le Premier ministre: « au-delà de tous les outils que nous pouvons mettre en place, la lutte contre la corruption est d’abord un problème comportemental qui demande l’implication de tout un chacun pour une lutte efficace contre ce fléau ».