D’après le ministre ghanéen, Yaw Osafo-Maafo, 1,35 milliard de dollars a été dépensé en 2018 pour l’importation du riz. Cette situation reste paradoxale selon le ministre dans la mesure où le riz pourrait être cultivé dans toutes les régions du pays.
Déplorant le niveau élevé de la facture, M. Osafo-Maafo appelle le secteur privé à s’investir dans la production de riz aux côtés du gouvernement.
Le riz est la seconde céréale la plus importante du Ghana après le maïs. Le pays devrait consommer en 2019/2020, 1,17 million de tonnes de la graminée contre une production de 470 000 tonnes d’après le Département américain de l’agriculture (USDA).