Sahara: Pourquoi les généraux algériens s’acharnent à prolonger un conflit contre le bon sens 

L’Algérie continue de manœuvrer contre l’intégrité territoriale du Maroc en instrumentalisant le mouvement séparatiste du polisario, mais en vain, la souveraineté du Royaume sur le Sahara marocain étant largement confortée au niveau international. 

Ainsi, ni les membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU ni aucune grande capitale dans le monde ne reconnaissent la rasd (république arabe sahraouie démocratique), une république théorique, autoproclamée par le front polisario, sur ordonnance de la junte Algérienne. 

En s’acharnant sur le maintien sous perfusion d’un mouvement séparatiste sur son territoire, et son soutien à un État fantoche qui est totalement ignoré par la communauté internationale, la junte au pouvoir ne fait que prolonger un conflit qui tourne en rond depuis bientôt 50 ans. 

Mais visiblement, le temps compte peu pour les généraux algériens, tant ils considèrent que la question du Sahara est une épine dans le pied du voisin marocain. Et tant que le Maroc continuera  d’être utilisé comme l’ennemi de l’Algérie pour couvrir tous les abus et toute la répression contre le peuple algérien. 

Mais aujourd’hui, ces despotes savent que la donne a changé et que le peuple algérien s’accroche de tous ses espoirs à maintenir vivace la flamme du Hirak, jusqu’à la chute de la junte qui gouverne l’Algérie. 

Malgré la répression, la société civile et une partie de la classe politique algérienne sont contre les diktats d’un pouvoir despotique, bientôt obsolète. 

Depuis l’indépendance, la stratégie de la doctrine du régime algérien, dans la gestion du pays est un problème complexe et protéiforme, qui résulte principalement de multiples facteurs économiques, sociaux, politiques et culturels, dont le seul souci est de maintenir l’existence de l’establishment militaire.

Le signal rouge clignote toujours et la chute sera inévitable en menant la politique de l’autruche et bravant les défis réels du peuple des héritiers d’Emir Abdelkader El Djezairi.