Face à l’Etat hébreu, aux pays du Moyen-Orient et les Etats Unis, l’arme fatale en possession de l’Iran est l’utilisation des bombes sales, plus discrètes pour menacer les intérêts occidentaux ou Israël.
Selon des sources ayant requis l’anonymat, le régime algérien a discrètement transféré une quantité non négligeable de résidus radioactifs issus de la médecine nucléaire vers l’Iran.
Officiellement classés comme déchets médicaux, ces matériaux présentent néanmoins un potentiel réutilisable dans certains procédés sensibles. Ce transfert, qui aurait été organisé en dehors de tout cadre légal ou supervision internationale, soulève de sérieuses inquiétudes quant à la finalité réelle de ces expéditions, dans un contexte régional déjà marqué par de fortes tensions et une méfiance croissante à l’égard des programmes nucléaires non déclarés.
Ces matériaux contiennent des isotopes comme le césium-137 ou le cobalt-60, susceptibles d’être réutilisés dans la fabrication de bombes radiologiques, plus connues sous le nom de bombes sales.
Contrairement aux armes nucléaires classiques, ces engins ne provoquent pas d’explosion nucléaire, mais dispersent des particules radioactives sur une large zone, contaminant l’environnement et semant la panique.
Selon certaines sources sécuritaires, l’Iran a un stock clandestin de ces matériaux pour les utiliser comme moyens de dissuasion asymétrique, ou pour les confier à des groupes affiliés opérant dans des zones de conflit. Cette filière entre l’Algérie et Téhéran, représente une violation grave des traités internationaux, et une menace directe pour les stabilités régionales.