La junte Algérienne, avec sa future constitution, cherche à s’affirmer au delà de ses frontières, pour museler sa société civile en déstabilisant les pays limitrophes afin de détourner ses propres problèmes internes.
Le 12 octobre 2020, le Secrétaire d’État américain, Monsieur Mike Pompeo, a publié sur le site web de son Département un Email reçu le 18 janvier 2013 par son prédécesseur, Madame Hillary Clinton dans lequel il est bien confirmé que la dictature algérienne est bel et bien impliquée avec les organisations terroristes ayant pignon au Sahara et au Sahel.
Le Sahel et certaines régions africaines ont été toujours pris en otage par les groupes terroristes mandatés par les services sécuritaires algériens.
L’implication dans le Mali, la Libye et le Sahara marocain, et l’appui de certains pays soudoyés par le régime despote, dénote l’animosité de ce régime corrompu.
Le groupe djihadiste Al Mourabitoune lié à Al Qaïda, et dont le chef n’est autre que le sinistre terroriste algérien Mokhtar Belmokhtar, illustre le danger que fait toujours peser ce régime sur toute la région.
Un autre complice avec des hauts gradés algériens, Mokhtar Belmokhtar, avait créé l’organisation financée par la junte algérienne. Cette organisation a été le fer de lance de la Realpolitik algérienne au Sahel et dans la région.
Par ailleurs, Abdelmalek Droukdel, djihadiste algérien, formé par la sécurité militaire, connu aussi sous le nom de guerre Abou Moussab Abdelwadoud, chef historique du jihad au Maghreb et commandant de plusieurs groupes jihadistes au Sahel, a été tué le 3 juin 2020 par des forces spéciales françaises, à Talhandak, au nord-ouest de la ville malienne de Tessalit.
Ce pendant, plusieurs observateurs humanitaires dénoncent l’ingérence directe ou indirecte du régime algérien dans les pays africains et latino-américains.