Les réserves pétrolières en Angola sont estimées à 57 milliards de barils suite aux activités de recherche et d’évaluation de nouvelles exploitations pétrolières et gazières pour les cinq prochaines années, selon un décret présidentiel publié au Journal officiel.
Ces activités de recherche peuvent également révéler l’existence de 27 trillions de pieds cubes de gaz, précise la même source, faisant état de l’adoption de la stratégie d’exploitation des hydrocarbures de l’Angola pour la période 2020-2025.
En 2018, la production d’or noir n’a pas dépassé 1,5 million de barils par jour, son plus bas niveau en plus de dix ans, conséquence de prix faibles et du gel de nouveaux projets. Mais le pays semble décidé à renverser la vapeur en engageant des réformes pour doper ce secteur vital à son économie.
«On entre dans une nouvelle ère» en Angola, deuxième producteur d’or noir d’Afrique sub-saharienne après le Nigeria, s’est réjoui Guido Brusco, vice-président du géant italien ENI pour l’Afrique subsaharienne.