La dette publique de l’Angola a été aggravée en 2020 par la pandémie du coronavirus. Elle est passée à un seuil de 134,2%, a révélé mercredi le Fonds Monétaire International (FMI).
Le FMI a revu à la baisse les prévisions de croissance pour le pays, anticipant une reprise de 0,4% de l’économie angolaise cette année, avec une dette publique de 119,9%.
«La dette publique devrait tomber cette année à 120% du PIB, reflétant le début de la reprise de la croissance et une vision budgétaire restrictive», souligne l’institution financière internationale dans un document.
La ministre angolaise des Finances, Mme Vera Daves, avait auparavant souligné que son pays souhaite attirer davantage d’investissements étrangers directs (IED) et renforcer ses relations avec tous les investisseurs et créanciers internationaux.
Elle a mis l’accent sur les réformes macro-économiques en cours dans le pays, en particulier celles qui concernent la viabilité de la dette publique.