La décision de M. Zuma de défier un ordre émanant de la plus haute juridiction du pays ainsi que la convocation de la Commission d’enquête est totalement inacceptable dans une démocratie constitutionnelle comme la nôtre, a indiqué la commission.
Les tensions durent depuis des années entre l’ancien président, Jacob Zuma, et la Commission judiciaire d’enquête sur la corruption, présidée par le juge, Raymond Zondo.
Regrettant que M. Zuma se considère au-dessus de la loi et de la Constitution, la commission a mis en garde que si Zuma ne se présentait pas à la barre des témoins le 15 février, des mesures supplémentaires seront prises à son encontre.