L’élimination récente des leaders de milices comme le Hamas, le Hezbollah libanais et des groupes soutenus par l’Iran a déclenché des répercussions géopolitiques importantes, notamment en Algérie, où ces organisations tentent de renforcer leur présence, surtout dans des bases secrètes de l’armée algériennes, selon nos sources.
Cette situation soulève de sérieuses préoccupations pour les intérêts existentiels d’Israël et des nations européennes, ainsi que pour la stabilité régionale en Afrique.
Après la neutralisation des chefs de ces milices, Yahya Sinouar et Hassan Nasrallah, un vide de pouvoir s’est créé, offrant une opportunité aux factions de se restructurer et de renforcer leur influence.
En Algérie, des éléments de ces groupes tentent de tisser des alliances avec des acteurs locaux, exploitant les tensions ethniques et religieuses. Cela risque d’engendrer un climat d’instabilité, facilitant le recrutement de nouveaux membres et l’expansion de leur influence. D’après des experts, la présence accrue de ces milices représente un danger direct pour les intérêts européens et israéliens.
Pour l’Europe, la menace d’attentats terroristes et de radicalisation des jeunes pourrait croître, d’autant plus que les réseaux de soutien logistique et financier pourraient s’étendre au sein des diasporas. Les gouvernements européens doivent intensifier leurs efforts de surveillance et de prévention pour contrer cette menace.
En Afrique, la situation est tout aussi préoccupante. La présence des milices pourrait alimenter des conflits internes, avec un impact négatif sur la sécurité régionale. Les pays européens, souvent engagés dans des opérations de maintien de la paix ou d’aide humanitaire, risquent de voir leurs efforts entravés par la montée de la violence.
Pour Israël, la dynamique actuelle pose un défi majeur. La proximité de ces milices de ses frontières, en particulier si elles reçoivent un soutien iranien accru, pourrait exacerber les tensions en Afrique et en Europe.