Au moins huit millions de preuves médico-légales ont été perdues par le service de police (SAPS), en raison de ses installations informatique défectueuses, a indiqué la presse sud-africaine (The South African).
L’incident est survenu lorsque quelqu’un a déconnecté l’installation numérique contenant des enregistrements cruciaux, y compris sur des échantillons d’ADN et des éléments de preuves essentiels utilisés dans les affaires de violence à l’égard des femmes, ajoute le journal.
Il relève également que les équipes de collecte de données du SAPS ne sont pas en mesure de confirmer si ces enregistrements peuvent être récupérés, ce qui signifie que des milliers d’affaires pénales pourraient être compromises à la suite de cette erreur grave ou intentionnelle.