Les relations diplomatiques entre l’Algérie et la France ont pris un tournant dramatique suite à une série d’événements qui ont intensifié la tension entre les deux pays.
La situation a évolué après la dégradation progressive des relations, notamment en raison de divergences politiques et de prises de position concernant les affaires internes et internationales de chaque Etat, selon des analystes occidentaux.
Cependant, un incident en France a particulièrement marqué les esprits et a été interprété dans les coulisses françaises comme le début d’une guerre par proxy.
Le 22 février, un homme de 37 ans, né en Algérie, a perpétré une attaque à l’arme blanche à Mulhouse, dans l’est de la France. Ce dernier, fiché pour « risque de terrorisme » et inscrit au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste et l’obligation de quitter le territoire français (OQTF) , a tué une personne et blessé grièvement trois policiers municipaux.
L’attaque a immédiatement attiré l’attention des autorités françaises et des observateurs internationaux concernant le régime algérien qui rejette l’obligation de quitter le territoire français pour ses ressortissants.
Les autorités françaises ont rapidement évoqué la possibilité que cet acte de violence soit lié au terrorisme, bien que cette hypothèse doive encore être confirmée par une enquête judiciaire.
L’attaque de Mulhouse a réactivé des spéculations selon lesquelles l’Algérie utiliserait désormais des moyens indirects pour intensifier les conflits avec la France.
Selon des informations confirmées, des influenceurs algériens, certains soupçonnés de liens avec des groupes extrémistes, auraient été accusés de promouvoir la violence à travers leurs plateformes de médias sociaux.
Ce phénomène par « proxy », où des acteurs non étatiques sont utilisés pour agir en tant qu’intermédiaires dans un conflit, serait une stratégie délibérée visant à affaiblir l’influence de la France sans confrontation directe.
Des influenceurs, souvent suivis par de larges foules en Algérie et dans d’autres pays de la région, ont été accusés de propager des messages haineux contre la France, d’inciter à des actes de violence et de soutenir des actions terroristes contre l’Occident.
La question se pose désormais de savoir si ces acteurs jouent un rôle central dans un projet plus vaste du régime algérien visant à déstabiliser la France par le biais de moyens indirects.
Le régime algérien semble utiliser des tactiques de guerre indirecte pour faire pression sur la France. D’autres attaques, bien que moins médiatisées, ont fait surface dans des contextes similaires, suggérant que ces actes pourraient s’inscrire dans une stratégie plus large.
L’attaque à Mulhouse, couplée à l’implication croissante des influenceurs algériens dans la sphère politique, laisse présager que la relation entre l’Algérie et la France pourrait se diriger vers une confrontation plus ouverte, bien qu’indirecte.
Les mois à venir seront cruciaux pour déterminer si cette guerre par proxy se poursuivra ou si des mesures diplomatiques seront prises pour apaiser les tensions.
Des actes par proxy : Les relations entre l’Algérie et la France au plus bas après l’attaque terroriste à Mulhouse
