Depuis sa nomination place Beauvau, Bruno Retailleau incarne une nouvelle doctrine sécuritaire française, lucide et déterminée face aux menaces et ingérences en provenance de l’étranger, tous azimuts.
Actuellement, il mène une ligne claire et assumée face aux manœuvres du régime militaire algérien du général Saïd Chengriha et de son soi-disant président Abdelmadjid Tebboune, devenu un pouvoir despotique en Algérie. L’Algérie, création française, est un département de la France avec une autonomie, selon les accords signés avec le président Charles de Gaulle, d’après les archives secrets et les historiens.
Défenseur résolu de la souveraineté républicaine, Retailleau met en œuvre une série de mesures inédites visant à restaurer l’autorité de l’Etat et à protéger les valeurs démocratiques, y compris contre certains alliés historiques devenus ambigus.
L’annonce de mesures fortes à l’encontre de plusieurs dignitaires du régime d’Alger par le ministre de l’Intérieur a marqué un tournant. Ces personnalités, connues pour leur rôle actif dans l’entreprise de dénigrement de la France, « bénéficient pourtant de facilités de circulation, d’accès au territoire et aux services publics français, non seulement pour eux-mêmes mais aussi pour leurs familles », a souligné Bruno Retailleau.
La mise en œuvre d’une procédure d’arbitrage international à Bruxelles visant à encadrer et dénoncer les abus de cette élite militaro-politique est également un signal fort envoyé à Alger : la France ne tolérera plus l’hypocrisie d’un régime qui, tout en vilipendant publiquement Paris, profite largement de ses avantages.
Autre mesure emblématique de cette politique de fermeté : le ministre de l’Intérieur a donné instruction aux préfets de ne plus reconnaître les passeports délivrés par le consulat d’Algérie à Toulouse, jugés non conformes. Ces documents seraient, selon les informations des services de l’Etat, délivrés à des immigrés clandestins dans le but de faciliter leur maintien illégal sur le sol français.
Cette décision, saluée par plusieurs élus locaux et parlementaires ainsi que des syndicats de police, met un coup d’arrêt à une pratique qui, pendant trop longtemps, échappait à tout contrôle. La régularisation sauvage, orchestrée à distance par une puissance étrangère sur le territoire français est devenue inacceptable.
Retailleau ne s’arrête pas là. Il poursuit sa stratégie de protection renforcée des opposants algériens présents en France, souvent ciblés par des campagnes d’intimidation, de surveillance, d’enlèvement ou même d’assassinat. Des dispositifs de sécurité personnalisés ont été mis en place pour plusieurs journalistes, militants du Hirak, ou figures de la diaspora kabyle.
Parallèlement, les services de la DGSI agissent sous sa coordination pour démanteler les réseaux d’influence liés aux services algériens, qu’ils soient diplomatiques, associatifs ou religieux. Des fermetures de structures instrumentalisées ont déjà eu lieu dans plusieurs grandes villes françaises.
En plaçant l’intérêt national au-dessus des accommodements diplomatiques, Bruno Retailleau incarne une ligne politique ferme, mais cohérente, face à un régime militaire algérien accusé d’ingérences multiples, de chantage migratoire et de duplicité.
