Les agences de notation Standard & Poors et Fitch ont décidé de ne pas réduire davantage leur note de l’Afrique du Sud en « indésirable », malgré la persistance de « risques substantiels pour la stabilisation de la dette ».
En revanche, Fitch a estimé que « des inégalités exceptionnellement élevées » pourraient conduire à des défis à long terme, et ajouter de la pression aux tentatives du gouvernement de réduire les dépenses car il y a « des appels croissants pour l’amélioration des services publics ».
Fitch a souligné également que « les luttes au sein du parti du Congrès national africain (ANC, au pouvoir), notamment en ce qui concerne la récente suspension du secrétaire général du parti, Ace Magashule, continuent également de ralentir la prise de décision du gouvernement. »