La réaction du gouvernement éthiopien au sujet a exprimé sa déception après l’adoption de la résolution de l’Union européenne sur la situation des droits de l’homme au Tigray lors de la 47ème session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies.
Addis-Abeba avait accepté le déploiement d’une équipe d’enquête conjointe composée de la Commission éthiopienne des droits de l’homme et du Haut-Commissariat aux droits de l’homme pour enquêter sur les violations des droits de l’homme qui auraient été commises pendant la crise du Tigray.