Algérie: Les accusations farfelues du régime militaire contre le Maroc pour voiler la crise interne

Le seul ennemi du peuple algérien est le régime militaire algérien qui, depuis ‘’l’indépendance’’, a toujours cherché à porter atteinte au Royaume du Maroc et à son intégrité territoriale.

Pendant des années, les régimes successifs en Algérie ont tous mené des attaques injustifiées contre le voisin marocain, pour défendre la  pièce maîtresse de leur guéguerre à savoir ‘’le mouvement séparatiste sahraoui polisario’’ qu’ils ont toujours utilisé pour contester la légitimité de la souveraineté du Royaume sur ses provinces du sud.

Tous les efforts malveillants déployés par la junte militaire et les  milliards de dollars du contribuable algérien déboursés pour soutenir les causes séparatistes du polisario, sont partis en fumée. 

Les généraux et consorts ont profité de cette manne, dont les fonds détournés sont transférés vers des comptes bancaires à l’étranger ou investis dans l’immobilier. Ces faits  confirment que les dirigeants algériens ont toujours agi pour leurs propres intérêts.

Le régime en place à Alger a accusé à tort le Maroc d’être derrière les incendies en Kabylie, et de soutenir le MAK ou le GPK (Gouvernement Provisoire de la Kabylie) et  le mouvement islamiste Rachad,  deux entités basées en Europe, alors que les séparatistes du polisario sont installés à Tindouf en territoire algérien. Pour l’histoire, Tindouf faisait partie du territoire marocain.

Pour couvrir ses échecs continuels, le pouvoir algérien désigne le Maroc comme seul et unique bouc-émissaire ou ennemi virtuel pour détourner l’attention sur « les graves crises internes » qui secouent l’Algérie. Une diversion, érigée en doctrine et destinée à museler le peuple algérien, mais dont les événements ont prouvé qu’elle était dépassée avec le temps.

Aujourd’hui, le grand danger pour l’Algérie, c’est la reconstitution du groupe des années 90, avec le limogeage du général Gouasmia et le rappel des dernières pièces de l’échiquier le général Mohamed Mediène dit Toufik,  le général Khaled Nezzar, le général Yahia Ali Oulhadj à la tête de la gendarmerie nationale et autres tortionnaires de la décennie noire. 

L’équipe étant au complet, la machine des services du général Achour, s’est mise en route pour mettre en œuvre les scénarios classiques des années 90, mais cette fois-ci c’est la Kabylie qui est visée et qui payera la note.