Les tentatives désespérées du régime algérien pour déstabiliser le mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie, une répression féroce et une chasse à l’homme générale contre les militants pacifiques kabyles, surchargent intensivement l’incrédibilité et la déchéance du régime.
Lorsque le président Abdelmadjid Tebboune et le général Saïd Chanegriha ou Chengriha, n’arrivent pas à faire rejeter les preuves accablantes de leur culpabilité pour les inébranlables crimes orchestrés contre le peuple kabyle depuis la pseudo-indépendance algérienne, toute honte bue, c’est le mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie, fondé juste en 2001, qui est pris indûment pour cible.
Le militant du MAK, fier de faire partie de ces braves Kabyles insoumis, un digne fils d’une région qui a enfanté cinq colonels, Draâ El Mizan. Il est natif de la même commune que le négociateur des Accords d’Evian, Ait Yahia Moussa, la commune de l’un des 6 chefs de la « Révolution algérienne », Krim Belkacem. Une région marginalisée et déforcée depuis le débarquement de l’armée de Boumédiène, l’armée des embusqués et les affidés de l’idéologie arabo-musulmane.
Le mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie, à sa tête le père fondateur de la nation kabyle, Ferhat Mehenni, et en son sein de braves enfants de la Kabylie, intègres et fidèles, est une force inébranlable. Sa légitimité est assurée aussi par un droit international, le droit des peuples à prendre leur propre destin en main.
Nos aïeux ont fait déguerpir tous les envahisseurs de l’Afrique du Nord, à nous de chasser de la Kabylie le dernier colonisateur venu sous la bannière de la république bananière algérienne. Vive la Kabylie libre et indépendante. (B A)