À la veille de la commémoration de la fête nationale en Algérie du 5 juillet, les services sécuritaires algériens, sous les ordres du général Saïd Chanegriha, ont engagé des experts et des mercenaires étrangers (W) pour la protection et le déroulement de la parade militaire, selon de sources locales.
Cette date est également un jour de deuil où plus de 700 personnes ont été tuées au cours d’une chasse aux Européens.
Le prétexte invoqué par la junte commandée par le général Chengriha et qu’elle a toujours fanfaronné, accuse sans preuve les pays limitrophes qui sont soi-disant soutenus par l’armada de l’état d’Israël.
À l’heure actuelle, le régime des généraux, après la mort du Président Abdelaziz Bouteflika et du Général Ahmed Gaïd Salah, se trouve dans une bulle paranormale, où la menace intérieure ou extérieure est constamment mise en avant pour sauvegarder ses intérêts et tenter d’arracher une légitimité que la population lui refuse obstinément.