Après le dernier tir du missile balistique de la Corée du nord, tombé dans l’océan Pacifique, pas loin d’une péninsule du japon, à une vitesse proche de Mach 17, des experts et intervenants européens sur une chaîne européenne, ont pointé le potentiel de certains pays à acquérir l’arme destructive, dont l’Iran et l’Algérie.
Les achats d’armement russe, de drones de l’Iran et l’étroite collaboration avec le Hezbollah, ne sont que l’infime partie visible du projet du pouvoir militaire algérien pour affirmer son hégémonie en Afrique et puis sur l’Europe.
En effet, des sources sécuritaires ont révélé un sujet tabou, l’Algérie a pu acheter un certain nombre de kilos de matières radioactives après la dislocation de l’ancienne URSS.
Ces matières hautement enrichies, soigneusement placées dans des valises diplomatiques, hermétiquement fermées, ont pu être acheminées à la base militaire de Skikda et puis envoyées à l’Iran.
Selon un officier des services du renseignent militaire du général Saïd Chengriha et de ses prédécesseurs, une centaine de militaires, tout rang confondu, impliqués dans cette affaire, ont été limogés, incarcérés ou éliminés.