La France: Zoom sur le  business lucratif  des ‘’opposants influenceurs‘’

Un couple, comme Dounia Moustaslim et son mari Adnane Filali, s’activant sur les réseaux sociaux, crée de fausses polémiques avec des discours haineux, racistes, antisémites et malveillants. 

Le couple monétise ses paroles, sponsorisé en cela par certains pays et organisations dont le régime algérien du général Saïd Chengriha, les mollahs en Iran et leur affidé le Hezbollah libanais, en contrepartie de sommes rondelettes, afin de  ternir les accords d’Abraham.

Ce phénomène judéophobe sur le Net, avec des idées  obscurantistes, est ainsi incarné par Adnane et Dounia Filali, des antisémites et anti-israéliens notoires, qui demandent l’asile à  la France ; ils sont actuellement épinglés et poursuivis en justice par « Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA) ».

Adnane est connu sur Facebook pour faire l’apologie de l’organisation terroriste Hezbollah : « c’est l’une des seules armées libres et justes sur cette planète, avec l’armée iranienne », déclare-t-il sans aucune gêne.

Sur d’autres photos, après leur demande d’asile, le couple posait en faisant la quenelle, un geste antisémite popularisé par le comédien controversé Dieudonné.

Ce duo, Dounia et son mari Adnane, ainsi que leurs mentors, créent de fausses discussions malintentionnées et agressives. 

Cette agressivité, à contre-courant de la réalité, ne fait que resserrer l’étau sur ces mercenaires du Net, malgré une certaine complaisance médiatique à l’étranger. 

En outre, plusieurs médias internationaux à l’objectivité avérée, se posent des questions sur leurs parcours.

La jurisprudence française réserve la qualité de réfugié à des personnes persécutées par les autorités publiques ou officielles du pays d’origine,  alors que le couple Filali a quitté librement le Maroc en 2017, n’a jamais été dérangé  et ses prétentions d’être harcelé se trouvent infondées. 

Le couple devra s’expliquer devant la justice française énonce clairement L’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). Le cadre juridique de l’asile ne doit pas constituer, dans ce cas, une protection permettant aux criminels d’échapper à la justice, suite à la plainte déposée contre eux par « Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme ».