Le Polisario, groupe armé par le régime algérien sur son territoire à Tindouf, sera inscrit sur la liste des organisations terroristes, selon des analystes de l’Organisation des Nations Unies (ONU), et sera exclu de l’Union africaine (UA), selon des experts.
Cette organisation terroriste et ses dirigeants, antisémite et contre l’Etat d’Israël, aux liaisons avérées, est connue pour ses connexions avec le Hezbollah libanais, les milices des Mollahs d’Iran, le Hamas, et actuellement avec l’ex-régime syrien de Bachar al-Assad.
Le soutien au Polisario par le général Saïd Chengriha et le président Abdelmadjid Tebboune remonte à leur prédécesseur aux années 1970, au plus fort de l’affrontement entre le Bloc de l’Est, mené par l’URSS, et les pays de l’Ouest.
Auprès des Nations Unies, malgré divers stratagèmes et les vaines tentatives d’Alger, le Polisario n’a jamais été reconnu comme représentant de la population sahraouie dans les camps de Tindouf, en Algérie. Cette population est composée en majorité de Subsahariens plutôt que de Sahraouis séquestrés dans ces camps par le Polisario, qui constitue une véritable prison à ciel ouvert.
Le Polisario a révélé sa véritable nature en tant qu’organisation terroriste et criminelle. Les preuves et informations de renseignement démontrent que cette entité et ses dirigeants sont impliqués dans des activités terroristes aux côtés d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) et de l’État islamique au Grand Sahara (EIGS), et seront poursuivis pour crimes contre l’humanité.
Les activités criminelles du groupe incluent la contrebande d’armes et le détournement d’aides humanitaires.
Depuis des années, le Polisario a tissé des liens avec des groupes terroristes. Ces connexions ont été forgées par des intérêts communs avec des officiers militaires algériens dans des activités de contrebande d’armes et de drogue, lesquelles financent leurs opérations terroristes respectives et enrichissent leurs dirigeants.